Fabrique de Thèse #3

dates: 
lieu:  CN D Lyon

Journée doctorale : à l'entour de la recherche

Date : vendredi 21 septembre 2018

Lieu : CN D, 40 ter rue Vaubecour, 69002 Lyon

Programme

À l’entour d’un travail central de recherche s’embusquent des expériences tantôt motivantes tantôt chronophages. Comment s’en accommoder ou en tirer parti ? À travers des communications de doctorants ou jeunes docteurs et des échanges collectifs, cette journée propose d’échanger sur « l’autour » et « les dessous » de la thèse afin de tenter de saisir la complexité de la vie doctorale et de dégager de nos échanges quelques astuces et modes d’emploi.

Fabrique de thèses met en lumière méthodes et outils employés par les doctorants ayant pour objet d’étude la danse, les arts chorégraphiques ou le corps. Après avoir traité des débuts du doctorat à travers une première édition et de la fin du doctorat lors de l’édition suivante, cette troisième journée vise à exposer ce qui se cache autour de la recherche. Au fil des années de doctorat et à côté du travail consacré à la rédaction d’une thèse, la vie doctorale est parsemée de bien d’autres missions, rôles et enjeux. La charge ou vacation d’enseignement, les déplacements et voyages que certaines missions initient, le lien et l’explication de son sujet auprès de son entourage social, la pratique artistique, ou encore la valorisation professionnelle et la période postdoctorale lors des mois qui suivent la soutenance seront les sujets de nos débats lors de cette journée au Centre national de la danse en cette rentrée universitaire 2018, dans le cadre de la Biennale de la danse de Lyon.

Une proposition du comité de l’Atelier des doctorants :

et du service Recherche et Répertoires chorégraphiques, CN D

Marion Fournier, doctorante en arts à l'université de Lorraine et l’Universität Leipzig,

Oriane Maubert, doctorante en arts du spectacle à l’université Montpellier 3 Paul-Valéry,

Karine Montabord, doctorante en histoire de l'art à l'université Grenoble-Alpes.

Avec la participation des deux répondantes Claudia Palazzolo, Maître de conférences en Arts du spectacle au département des Arts de la scène de l’image et de l’écran (ASIE) à l’université Lumière Lyon 2 et Alix de Morant, Maître de conférences en études théâtrales et chorégraphiques à l’université Paul-Valéry Montpellier 3.


Programme

9:30 – Accueil

10:00 – Communications

Les engagements collectifs

Beaucoup d’étudiants sont investis dans la vie de leur laboratoire, dans des associations ou rassemblements de chercheurs ou autres structures. Quels outils le doctorant a-t-il à sa disposition pour organiser ces activités ? Jusqu’où ces dernières sont-elles compatibles avec l’activité strictement liée à la thèse ? Quelle frontière doit-on percevoir entre activité doctorale et activité en dehors du doctorat ?

Bahéra Oujlakh, doctorante en arts à l’université de Valenciennes sous la direction de Catherine Chomarat-Ruiz

Cafés philo et arts vivants

Comment se déroule la transmission d’un savoir dans le cadre d’un café philo ? Pour quelle(s) raison(s) choisir ce format particulier, en complément des cours académiques dispensés à l’Université ? En quoi cette initiative permet-elle une meilleure cohésion dans un groupe étudiant, allant jusqu'à l’émergence de projets communs sous forme, par exemple, de collectifs artistiques ?

Magali Chatelain, doctorante en géographie à l’université Lumière Lyon 2 sous la codirection de Christian Montès et Anne-Laure Amilhat-Szary

De la pratique artistique collective de loisir au protocole de recherche : appréhender les univers professionnels de la danse par la pratique amateur.

Cette présentation se fait l’écho d’une interrogation sur la manière dont la pratique ponctuelle d’activités artistiques de loisir peut progressivement s’intégrer à un protocole de recherche. En m’appuyant sur plusieurs expériences menées auprès de chorégraphes au cours de ma première année de doctorat, j’envisage les engagements collectifs artistiques annexes à la thèse comme de véritables outils pour l’élaboration de ma recherche.

Alexia Volpin, doctorante en arts de la scène à l’université Lumière Lyon 2 sous la direction de Daniel Urrutiaguer

Engagements professionnels connexes : quels rapports de coordination avec soi-même ?


En partant d’une réflexion sur les engagements professionnels connexes au sujet de thèse, nous tenterons d’observer et d’analyser les rapports de coordination avec soi- même. Les exigences, les facilitateurs et les obstacles seront à identifier afin d’extraire des outils et instruments pouvant permettre d’établir des logiques d’action spécifiques et faciliter cette action coordonnée.

10:45 – Questions des répondantes et auditeurs, discussion

11:15 – Pause


11:20 – Communications

Stéphane Nowak, docteur en littérature générale et littérature comparée de l’université Lumière Lyon 2, thèse soutenue sous la direction d’Éric Dayre et Jean-Pierre Bobillot en février 2018, ATER en lettres modernes

Chercher en adoptant un point de vue émique : traduire sa recherche par la mise en pratique


Comment chercher, enseigner, animer des ateliers, créer sans mélanger les points de vue et/ou se tromper de posture ? La communication développe l’intérêt d’adopter un point de vue « émique » de l’intérieur ainsi que la notion de traduction comme translation.

Présentation de l’association Enthèse

Enthèse est une association lyonnaise de jeunes chercheurs, dont l’objectif est d’accompagner les doctorants (ou les personnes aspirant à l’être) dans leur parcours de recherche. Ouverte à tous types de profils, elle propose des formations, organise des événements scientifiques, et anime des temps de discussion mensuels (en présence d’invités) autour de thématiques diverses concernant l’expérience du doctorat.

11:45 – Questions des répondantes et auditeurs, discussion

12:15 – Repas

13:45 – Communications

Enseigner pendant le doctorat

Comment trouver l’efficacité et l’équilibre entre la préparation des cours, l’animation de ceux-ci et la qualité pédagogique tout en menant à bien la préparation de sa thèse de doctorat ? Comment se profile l’attribution de ces cours ? Comment se sentir légitime à transmettre connaissances et enseignements alors que le cycle de pensée autour du doctorat n’est pas encore achevé pour soi-même ?

Stéphanie Goncalves, docteure en histoire contemporaine (2015), chargée de recherche à l’université libre de Bruxelles, post-doctorante à l’Academia Belgica de Rome, Ater à l’université de Rennes 2

Enseigner et chercher : le contrat d’Assistant en Belgique

Assistante à l’université libre de Bruxelles, j’ai été à la fois enseignante et doctorante pendant six années. Grâce à une formation pédagogique en interne, j’ai utilisé des outils de pédagogie active en classe qui peuvent aider les communicants de l’Atelier. En outre, j’ai réussi à combiner enseignement à plusieurs centaines d’étudiants, corrections, projets pédagogiques et recherche dans quatre pays.

Axelle Locatelli, doctorante en danse à l’université Paris 8 sous la direction d’Isabelle Launay

Enseigner pour rechercher

Faut-il soi-même enseigner lorsque ses recherches impliquent un questionnement sur la transmission ? Être en empathie ou non avec ses sources ? De ce choix découle toute une méthode de travail qu’il s’agit ici d’interroger : comment enseigner. Mais surtout, comment s’emparer de ces expériences d’enseignement pour activer une pensée, poser des hypothèses et rédiger une thèse ?

Laura Fanouillet, doctorante en arts du spectacle à l’université Grenoble-Alpes sous la direction de Gretchen Schiller

14:30 – Questions des répondantes et auditeurs, discussion

15:00 – Pause

Retours sur une première année d’enseignement en arts du spectacle

Cette communication est l’occasion de revenir sur une première année d’enseignement en arts du spectacle à l’université de Grenoble-Alpes, menée en deuxième année de doctorat, afin de partager les difficultés rencontrées, la méthode pédagogique esquissée, le contenu des cours, les trouvailles et les erreurs pour témoigner d’une expérience qui a tout d’une initiation.

15:05 – Communications

Expliquer son doctorat autour de soi

Attenante à la question de la professionnalisation des savoirs et des savoir-faire, nous posons ici la question de la valorisation du travail et du métier de doctorant auprès d’un entourage non spécialiste. Comment parler de son quotidien de doctorant et de ses recherches à son entourage amical ou professionnel ? Comment faire face à l’incompréhension si celle-ci se manifeste ? Comment parvenir à faire transparaître quelques enjeux d’un tel travail ?

Morgane Montagnat, doctorante en géographie à l’université Lumière Lyon 2 sous la direction de Claire Delfosse

Les mondes du trad, un projet de connaissance négocié


Les pratiques actuelles de musique/danse traditionnelles impliquent une négociation permanente de la recherche. L’engagement musical, corporel, relationnel du chercheur y apparaît comme attendu, le projet de connaissance comme banal et singulier. Quel équilibre peut être trouvé entre les temps d’objectivation et de coconstruction du savoir en ménageant les craintes de confiscation de l’expertise ?

Mélanie Mesager, doctorante en danse à l’université Paris 8 sous la direction d’Isabelle Ginot

Inviter l’intime. Quelle place pour l’histoire d’une amitié dans une thèse analytique ?


Dès le premier entretien qu’elle m’a accordé en 2016, j’ai senti que ma rencontre avec Sabine Macher débordait du cadre de ma thèse. Revenant sur cette amitié nouée avec l’auteur d’une des chorégraphies de mon corpus d’étude, je me demande quelle place occupe, à mon insu ou consciemment, cet affect dans ma recherche, et comment cet espace de l’intime peut s’inviter dans un texte final qui a vocation à être plus analytique que biographique.

Les mois après la soutenance

La fin du doctorat marque un tournant dans la carrière de jeune chercheur : comment se construit la suite pour le docteur fraîchement diplômé ? Comment les mois qui suivent la soutenance sont-ils appréhendés ? Une telle période est anticipée ensemble à travers les retours sur expériences de deux docteures.

Florence Jou, docteure en arts et sciences de l’art de l’université Paris 1 Panthéon- Sorbonne, thèse soutenue sous la direction de Christophe Viart en octobre 2017

(Re)trouver son écologie, dans l'avant et l'après-soutenance

Je propose de me concentrer sur deux temps, l'avant et l'après soutenance. Je souhaite traiter de l'écologie du chercheur, au sein de ses deux phases, qui m'ont semblé assez difficiles à envisager. Comment réactiver du désir pour le travail ? Et comment poursuivre son travail artistique en laissant de côté, pour un temps, trois années de recherche ?

Stéphanie Goncalves, docteure en histoire contemporaine (2015), chargée de recherche à l’université libre de Bruxelles, post-doctorante à l’Academia Belgica de Rome, ATER à l’université de Rennes 2

Préparer son dossier d’ATER

Quelques mots à propos de la constitution des dossiers de candidatures aux postes d’ATER pourront servir à récapituler les étapes de ce moment charnière qui suit le doctorat.

16:00 – Questions des répondantes et auditeurs, discussion

16:30 – Pause


16:35 – Table ronde. Quel lieu pour le doctorat ?

Intervenants et auditeurs sont invités à échanger sur les espaces où les doctorants peuvent vivre leur sociabilité. Laboratoires, salles des doctorants, bureaux collectifs ou personnels, mais aussi bibliothèques, cafés, trains, habitats privés, aucun lieu précis et unique ne semble se dégager. Nous balayerons autant que possible les différents cas afin de tenter de donner à voir un « atlas du doctorat ».

17:30 – Conclusion des répondantes


Les intervenants

Magali Chatelain est agrégée de géographie et doctorante à l’université Lumière Lyon 2. Son travail porte sur les pratiques spatiales des danseurs, dans une approche multiscalaire et comparatiste. Après s’être penchée sur les danseurs amateursest à travers l’analyse des réseaux de touristes salseros à Cuba, elle s’est tournée vers les danseurs professionnels, en s’interrogeant sur l’articulation des différentes échelles de pratiques spatiales des danseurs dans des contextes métropolitains européens (Lyon et Bruxelles).

Laura Fanouillet est danseuse et philosophe de formation. Actuellement doctorante contractuelle à l’université de Grenoble-Alpes, elle prépare une thèse rattachée au Laboratoire Litt&Arts, sous la direction de Gretchen Schiller, et interroge la place de la parole dans la transmission de la danse.

Stéphanie Gonçalves est historienne, chargée de recherche du FNRS à l’université libre de Bruxelles. Elle a soutenu en 2015 une thèse portant sur la diplomatie culturelle du ballet pendant la Guerre froide (Danser pendant la guerre froide, 1945-1968, PUR, septembre 2018). Elle a été assistante à l’ULB pendant six ans, post-doctorante à l’Academia Belgica de Rome et ATER à l’université de Rennes 2.

Florence Jou est docteure en arts et sciences de l’art, diplômée de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Elle a soutenu sa thèse de doctorat en octobre 2017, sous la direction de Christophe Viart, intitulée La constellation vers une écologie de l’art. Ses champs de recherche sont la co-création, l’écologie, la performance et les enquêtes. Poète, elle pense le poème comme une « partition », afin d’explorer des surfaces différentes, expérimenter des collaborations et générer de nouvelles variations.

Axelle Locatelli est spécialiste de cinétographie et termine actuellement un doctorat en danse portant sur les « chœurs de mouvements Laban ». Elle enseigne régulièrement dans diverses structures universitaires (Paris 8, Lyon 2) et autres (conservatoires, centre de formation en danse). Elle est l’auteure de textes parus dans Mémoires et histoire en danse, Corps (in)croyables, Allemagne d’aujourd’hui.

Mélanie Mesager. Formée à la linguistique médiévale puis enseignante, danseuse et chorégraphe, Mélanie Mesager mène des recherches sur les croisements entre le geste dansé et le langage verbal. Elle est l’auteur du livre Littéradanse. Quand la chorégraphie s’empare du texte littéraire. Doctorante contractuelle à l’université Paris 8 depuis 2016, elle travaille actuellement sur la pratique de l’entretien dans la chorégraphie contemporaine.

Morgane Montagnat est étudiante en première année de doctorat de géographie sous la direction de Claire Delfosse au sein du Laboratoire d’Études Rurales. Elle a suivi une formation pluridisciplinaire (histoire, lettres, géographie, ethnologie) à l’université Lumière Lyon 2. Musicienne depuis l’enfance, elle travaille depuis le Master sur les relations entre les pratiques actuelles des musiques et des danses dites traditionnelles et les dynamiques territoriales.

Stéphane Nowak est chercheur, poète et animateur d’atelier d’écriture. En 2018, il soutient une thèse en littérature générale et comparée intitulée « Le livre. Dedans/dehors. Autour des éditions Al Dante » sous la direction d’Éric Dayre à l’université Lumière Lyon 2. Il est aujourd’hui enseignant ATER en lettres modernes.

Bahéra Oujlakh est doctorante en arts à l’université de Valenciennes (laboratoire CALHISTE EA 4343). Placée sous la direction de Catherine Chomarat-Ruiz, sa recherche porte sur les nombreux usages des textiles dans l'art et prend actuellement appui sur la vie et l’œuvre de Patrice Hugues – artiste contemporain qui utilise la thermo-impression. Elle estégalement médiatrice culturelle au MusVerre de Sars-Poterie et conférencière pour la micro-folie de Denain.

Alexia Volpin est doctorante en arts de la scène à l'université Lumière Lyon 2 sous la direction de Daniel Urrutiaguer (Passages XX-XXI) et intervenante en danse contemporaine dans différents milieux éducatifs et socio-culturels. Ces recherches s'articulent autour de la reconnaissance et de la valorisation des danseurs.euses-chorégraphes dans les actions artistiques territorialisées.


Le comité de l'atelier des doctorants

Marion Fournier est doctorante à l’école doctorale Fernand Braudel sous la codirection des Professeurs Roland Huesca (département des Arts à l’université de Lorraine) et Inge Baxmann (Institut für Theaterwissenschaft à l’Universität Leipzig). Elle intègre un Bachelor en études franco-allemandes en « communication et coopération transfrontalières » dans la région Saar-Lor-Lux, puis se spécialise en Arts du spectacle avec un master en « arts et industries culturelles ». Elle obtient en 2016 un contrat doctoral et intitule sa thèse : « Le Tanztheater Pina Bausch, une géoesthétique de la danse et de sa réception (France-Allemagne, de 1974 à nos jours) ». Avec la danse pour objet d’étude, son travail invoque une approche culturaliste de l’Esthétique et de l’Histoire. Par ailleurs, Marion Fournier enseigne auprès des étudiants de licence en Arts du spectacle. Elle a fondé Java éditions en danse où elle dirige la collection « L’Accordéon ».

Oriane Maubert est doctorante à l'université Montpellier 3 Paul-Valéry au sein du Laboratoire RIRRA21 et prépare une thèse intitulée « La Marionnette danse. Ré-activer le geste sur la scène contemporaine » sous la direction du Professeur Didier Plassard. Son parcours oscille entre cursus universitaire et pratique artistique (théâtre, mise en scène, danse). Après des études en hypokhâgne/khâgne, elle s’oriente en double cursus Lettres modernes et Études théâtrales à l’université Paris 3 Sorbonne Nouvelle, puis concentre ses recherches de master sur la pratique artistique du marionnettiste Neville Tranter, interrogeant sa position d’acteur. Elle est membre du comité éditorial de Manip, Journal de la Marionnette édité par THEMAA et coordonne avec d'autres doctorants et jeunes docteurs le groupe international PhD in Puppetry. Ses recherches ont été soutenues par l'Institut international de la Marionnette et l’association des Chercheurs en Danse (aide aux chercheurs 2016).

Karine Montabord est doctorante en histoire de l’art à l’université Grenoble Alpes sous la direction d’Alain Bonnet et de Judith Delfiner. Ses recherches portent sur la place et le rôle accordé à la danse dans le mouvement Dada. Il s’agit également d’étudier comment la présence de danseur.euse.s et chorégraphes dans les cercles d’artistes a pu influencer la production artistique des dadaïstes. De sa pratique de la musique et de la danse naît un intérêt pour les sujets interdisciplinaires. Elle poursuit sa licence en histoire de l’art par un master dans la même discipline qui se concrétise par un mémoire intitulé « Forme, Rythme et Espace : L’œuvre de Sophie Taeuber-Arp éclairée par sa pratique de la danse ». Intéressée par la médiation, elle complète ses compétences en recherche par un master professionnel et devient guide conférencière. Elle exerce cette activité au sein de l’association culturelle La Veduta Grenoble depuis 2015.

Plus d’information sur l’Atelier des doctorants, c'est ici.

En prolongation de l'atelier...

En échos à cette journée doctorale, nous vous invitons à assister à la journée d’étude Les images de la danse : fonctions, usages, discours organisée par l’équipe de recherche Passage XX-XXI et dirigée par Claudia Palazzolo et Paule Gioffredi, maîtres de conférence à l’université Lumière Lyon 2. Cette journée d’étude aura lieu le 28 septembre dans le cadre de la Biennale de la danse.

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Informations pratiques

Inscriptions

Réservation auprès de recherche.repertoires@cnd.fr avant le 14 septembre 2018, en précisant :


• votre prénom et nom,


• éventuellement université et/ou école de rattachement.

Accès CND

Adresse : 40 ter rue Vaubecour, 69 002 Lyon


Métro A Perrache ou Ampère - Victor Hugo


Bus 8, 31, 32, 46, 49, 55, 63, 73, 96, 182, 184 Perrache

Tram T1 et T2 Perrache

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